Des scientifiques ont développé un répulsif écologique et efficace contre les moustiques, basé sur une bactérie génétiquement modifiée. Ce produit, appliqué sur la peau, réduit de 64,4 % l'intérêt des moustiques et son effet dure jusqu'à onze jours sans toxicité. Cette avancée permet de combiner protection efficace et respect de l'environnement, surmontant les limites des répulsifs chimiques comme le DEET. La découverte, publiée dans PNAS Nexus, marque une étape significative pour les régions fortement touchées par les moustiques.

Source : FranceLive

À l’hôpital Louis-Mourier de Colombes, une épidémie de coqueluche d'une ampleur inhabituelle a été observée, avec jusqu’à sept cas hebdomadaires chez les nourrissons depuis le début de l’année, contre cinq par an habituellement. Cette épidémie intense a causé 28 décès en France depuis janvier. Le reportage décrit le cas de Neïla, 6 mois, sous surveillance médicale après de sévères quintes de toux. L'hôpital, relevant de l'Assistance-publique des hôpitaux de Paris (AP-HP), illustre la gravité de cette situation sanitaire.

Source : Le Monde

Un rapport publié par The Lancet révèle que 45 % des cas de démence pourraient être évités ou retardés en réduisant certains facteurs de risque. Actuellement, plus de 57 millions de personnes sont atteintes de démence, et ce nombre pourrait dépasser les 150 millions d'ici 2050. La démence engendre des coûts sanitaires et sociaux élevés, dépassant mille milliards de dollars par an. Les experts soulignent l'urgence de la prévention en l'absence de traitement curatif.

Source: Science & Vie

Le staphylocoque doré, responsable de plus d'un million de décès annuels à travers le monde, devient de plus en plus résistant aux antibiotiques traditionnels. Cette bactérie, qui survit dans des conditions extrêmes et provoque des infections souvent mortelles, notamment chez les personnes immunodéprimées, pose un défi majeur en santé publique. Des chercheurs de l'Inrae ont identifié un capteur en surface de la bactérie qui lui permet de résister à des substances normalement toxiques. Ils proposent de développer une molécule pour neutraliser ce capteur, ouvrant la voie à un traitement potentiellement révolutionnaire contre cette bactérie résistante.

Source : Ouest-France

L'Europe fait face à une augmentation alarmante des cas de coqueluche, avec plus de 30 000 cas signalés en 2024, et 17 décès en France, dont 13 enfants. Cette maladie très contagieuse a vu une hausse de près de 7 000 cas par rapport à 2023. Les autorités sanitaires rappellent l'importance de la vaccination, introduite en 1959 et obligatoire pour les nourrissons, avec des rappels pour les enfants et adultes. La vaccination est aussi vivement recommandée pour les femmes enceintes et certaines professions en contact avec de jeunes enfants.

Source : Actu.fr

Malgré des efforts pour rattraper le retard induit par la pandémie de Covid-19, la couverture vaccinale mondiale demeure insuffisante. En 2023, seulement 84 % des enfants ont reçu les trois doses du vaccin DTP, un taux stagnant depuis 2022 et inférieur aux 86 % de 2019. Avec 14,5 millions d'enfants sans aucune vaccination, surtout dans des pays en conflit, le risque de maladies telles que la rougeole augmente, menaçant gravement la santé infantile.

Source : 20 minutes

L'Ozempic, médicament initialement destiné au traitement du diabète de type 2, est devenu populaire pour la perte de poids rapide, particulièrement parmi les célébrités et sur les réseaux sociaux. Ce détournement suscite des controverses en raison des effets secondaires comme le "visage Ozempic", caractérisé par un vieillissement accéléré et une perte de volume facial. Plusieurs pays européens ont même limité son utilisation pour la perte de poids face à ces risques et à l'impact sur l'approvisionnement pour les patients diabétiques.

Source : Le Soir

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une condition hormonale affectant environ une femme sur dix, et représente la principale cause d'infertilité chez les jeunes femmes. Cette maladie peut entraîner divers symptômes comme des irrégularités menstruelles, une pilosité excessive, et des problèmes de poids, augmentant également le risque de cancer de l'endomètre. Jusqu'à 70% des cas restent non diagnostiqués, ce qui souligne l'importance d'une reconnaissance et d'un traitement adéquats pour améliorer la qualité de vie des personnes affectées.

Souroce : HuffingtonPost

Des médecins du CHU de Montpellier ont publié une étude prometteuse dans le "New England Journal of Medicine" concernant le traitement des AVC sévères. Leur méthode, consistant à retirer le caillot bloquant l’artère cérébrale, même dans des cas auparavant jugés irrécupérables, a réduit de 20% le risque de décès. Cette nouvelle approche permet désormais à un patient sur cinq de rentrer chez lui après une rééducation, marquant une percée importante dans la prise en charge des AVC.

Source: RTL

Des chercheurs de l'université Royal Melbourne Institute of Technology (RMIT) en Australie ont développé un matériau en silicium recouvert de nanopointes qui élimine jusqu'à 96 % des particules virales. Cette innovation, inspirée par les défenses naturelles de certains insectes, pourrait révolutionner la stérilisation des surfaces dans des lieux critiques comme les hôpitaux et laboratoires. Le matériau a prouvé son efficacité contre des virus responsables de maladies respiratoires sévères, et son intégration dans les environnements de soins promet de réduire la propagation des infections.

Des chercheurs de l'INSERM à Toulouse ont identifié une protéine, TL1A, essentielle dans le déclenchement de l'inflammation allergique. Cette découverte ouvre la voie à de nouveaux traitements ciblant les alarmines pour prévenir les réactions sévères, notamment chez les asthmatiques. Cependant, l'application clinique de ces traitements nécessitera encore plusieurs années de recherche.

La nouvelle campagne de vaccination contre le COVID-19 se déroulera du 15 avril au 16 juin 2024, ciblant les personnes à risque, notamment les aînés, les immunodéprimés et ceux en établissements de soins de longue durée. Cette mesure préventive, qui peut s'étendre jusqu'au 15 juillet, coïncide avec les préparatifs des Jeux Olympiques de 2024, pour limiter la propagation du virus et protéger les populations vulnérables.

Une étude dirigée par la Pr Cynthia A. Thomson de l'université de l'Arizona, publiée dans la revue Annals of Internal Medicine, explore les impacts de la supplémentation en calcium et vitamine D sur la santé des femmes ménopausées. L'analyse, portant sur 36.282 participantes de l'essai Women's Health Initiative, a révélé qu'une consommation quotidienne de 1.000 mg de carbonate de calcium et 400 UI de vitamine D3 réduit le risque de mortalité par cancer de 7 % en comparaison avec un placebo, sur une période médiane de suivi de 22,3 ans.

Cependant, l'étude souligne également un potentiel accroissement des risques de décès par maladies cardiovasculaires lié à cette combinaison de suppléments. Les auteurs notent l'importance d'atteindre des concentrations sériques de vitamine D supérieures à 50 nmol/L pour bénéficier d'une protection contre le cancer, tout en reconnaissant la nécessité de recherches futures pour clarifier les effets spécifiques de la vitamine D seule par rapport à sa combinaison avec le calcium. Cette découverte souligne l'importance de consulter un professionnel de santé avant de commencer tout régime de supplémentation.

 

Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a publié des rapports indiquant une forte hausse des infections sexuellement transmissibles (IST) en Europe, notamment la chlamydiose, la gonococcie, et la syphilis, entre 2021 et 2022. Cette augmentation, qui dépasse les niveaux pré-pandémie, souligne l'urgence d'accroître l'éducation à la santé sexuelle, le dépistage, le traitement, et de lutter contre la stigmatisation. L'ECDC met en avant la nécessité de promouvoir le préservatif et d'encourager un dialogue ouvert sur les IST pour réduire la transmission.

Une étude majeure publiée dans Lancet Neurology révèle que les pathologies neurologiques, englobant les démences telles qu'Alzheimer, les migraines, et les séquelles d'accidents vasculaires cérébraux (AVC), ont surpassé les maladies cardiovasculaires en tant que principale cause de détérioration de la santé à l'échelle mondiale. En 2021, près de 43 % de la population mondiale, soit 3,4 milliards de personnes, était affectée par un trouble neurologique, marquant une augmentation significative par rapport aux années précédentes. Cette hausse est principalement attribuée au vieillissement de la population et à la nature souvent incurable de ces affections, qui peuvent affecter les individus durant de nombreuses années. Les AVC sont identifiés comme la première source de handicap et de perte de santé, contribuant à la perte de 160 millions d'années de vie en bonne santé globalement.

Malgré une réduction significative depuis l'ère des antibiotiques, la scarlatine, une infection affectant surtout les enfants de 3 à 10 ans, connaît une augmentation de cas en France et à l'international. Cette maladie, causée par une bactérie productrice de toxine, a vu son nombre de cas augmenter, atteignant un pic en France non observé depuis six ans. Les raisons évoquées incluent la pénurie d'amoxicilline, des épidémies virales concurrentes et le concept de "dette immunitaire" liée aux confinements COVID-19, bien que cette dernière explication reste contestée.

La Haute autorité de santé (HAS) recommande d'inclure le déficit en VLCAD, une maladie rare du métabolisme des lipides, dans le dépistage néonatal en France, rejoignant ainsi 13 autres pathologies déjà dépistées chez les nouveau-nés. Cette condition, due à un manque d'une enzyme nécessaire à la dégradation des lipides, peut entraîner des troubles sévères tels que des convulsions, des vomissements, une hypoglycémie, et dans les cas les plus graves, une cardiomyopathie, des arrêts respiratoires ou cardiaques, et même la mort. Actuellement, il n'existe aucun remède définitif pour le déficit en VLCAD, mais un diagnostic précoce permet une gestion visant à prévenir les crises, notamment par une alimentation régulière riche en glucides et des compléments spécifiques. Cette recommandation de la HAS vise à réduire l'errance diagnostique et les séquelles potentiellement irréversibles sur les organes vitaux, soulignant l'importance d'une détection et d'une prise en charge précoces pour améliorer le pronostic des patients.

Une étude de l'Institut Pasteur, publiée dans Nature, montre que les anciens fumeurs gardent une réponse immunitaire adaptative altérée, même des années après avoir arrêté de fumer. Fondée sur l'analyse de 1 000 personnes dans le cadre du projet « Milieu intérieur », cette recherche souligne l'impact durable du tabagisme sur le système immunitaire, indépendamment d'autres facteurs comme l'âge ou le sexe. Ces découvertes mettent en évidence l'importance cruciale de la prévention et du sevrage tabagique.

Les symptômes tels que la fièvre, les courbatures, la toux sèche et les maux de tête peuvent être causés par la grippe, mais également par d'autres virus, y compris le coronavirus. Les tests spécifiques disponibles en pharmacie ou chez les médecins peuvent différencier la grippe du COVID-19 et d'autres infections respiratoires. Cependant, un test négatif ne garantit pas l'absence d'infection, donc la clinique doit également être prise en compte. Les tests sont essentiels pour prendre des mesures appropriées, isoler les cas, et administrer des traitements spécifiques en cas de besoin. De plus, la vaccination est recommandée pour réduire les risques de complications.

Source : Allodocteurs

Les températures atteignant -10°C en France ont déclenché le plan grand froid, entraînant des conséquences sur la santé. Le nez qui coule en réponse au froid est une réaction naturelle, visant à réchauffer et humidifier l'air inspiré. La peau peut devenir sèche et sujette à la desquamation en raison du froid et du vent, aggravant les affections cutanées telles que l'eczéma et le psoriasis. Le froid peut également augmenter la dépense calorique, mais une exposition prolongée peut entraîner l'hypothermie. De plus, le froid peut accroître le risque de problèmes cardiovasculaires tels que les AVC et les crises cardiaques en raison de la contraction des vaisseaux sanguins et de la coagulation du sang, surtout lorsqu'on est mal protégé contre le froid.

Source : Huffpost

La carence en vitamine D ne découle pas seulement d'une exposition insuffisante au soleil, mais aussi de facteurs tels qu'une faible consommation de poissons gras, une peau mate, des changements hormonaux (chez les femmes enceintes ou ménopausées), le surpoids, une alimentation vegan, et l'âge, particulièrement chez les nourrissons et les personnes âgées. Il est essentiel de prendre en compte ces différentes causes pour prévenir la carence en vitamine D et ses conséquences sur la santé.

Source : Le Journal des Femmes Santé

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande de traiter les cigarettes électroniques comme les produits du tabac traditionnels, en raison des risques de dépendance à la nicotine, surtout chez les jeunes. L'OMS souligne le manque de preuves confirmant l'efficacité des cigarettes électroniques dans l'aide au sevrage tabagique, tout en mettant en garde contre les dangers pour la santé et les campagnes marketing agressives ciblant les adolescents. Parmi les propositions, l'OMS suggère l'interdiction des recharges parfumées et l'application de mesures restrictives similaires à celles du tabac, comme des taxes élevées et des interdictions dans certains lieux publics. Ces recommandations visent à contrôler l'usage de la cigarette électronique et à protéger en particulier les jeunes contre la dépendance à la nicotine.

Source : Challenges

Une étude révèle que les nausées, fréquentes chez les femmes enceintes, pourraient être dues à la protéine GDF15. Marlena Fejzo, chercheuse à l'Université de Californie, a mené des recherches après avoir elle-même souffert de nausées sévères pendant sa grossesse. L'étude a identifié une variation génétique qui pourrait rendre certaines femmes plus susceptibles à ces nausées, liées à des niveaux élevés de GDF15 pendant la grossesse. Cette découverte ouvre la voie à de potentiels traitements efficaces pour l'hyperémèse gravidique, un symptôme qui affecte deux tiers des femmes enceintes.

Source : BFMTV

L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) exprime une inquiétude croissante face à la recrudescence de l'épidémie de variole du singe, particulièrement en République Démocratique du Congo (RDC) où plus de 13 000 cas suspects et 600 décès ont été signalés cette année. Un changement démographique notable est observé, avec davantage de femmes affectées, contrairement aux précédentes épidémies. Des flambées de la maladie, portées par différents variants du virus, ont été signalées dans plusieurs pays, y compris en Asie, avec une augmentation notable de cas depuis juin. L'OMS maintient une vigilance élevée, soulignant le risque de propagation internationale et la nature inhabituelle de la transmission sexuelle du virus.

Source : Le Parisien

Un anévrisme est une saillie dans la paroi d'un vaisseau sanguin, souvent due à une faiblesse de celle-ci. Les facteurs de risque comprennent le tabagisme, qui provoque l'athérosclérose et la détérioration des artères, l'alcoolisme chronique, qui augmente la pression artérielle et favorise l'athérosclérose, le manque d'exercice physique, un taux élevé de mauvais cholestérol, et l'hypertension artérielle. Ces facteurs augmentent le risque de rupture d'anévrisme, un événement potentiellement mortel. On soulignera l'importance de la modération dans la consommation d'alcool et du tabac, de l'exercice régulier, et du contrôle du cholestérol et de la pression artérielle pour réduire ces risques.

Source : La Santé au Quotidien

L'Académie de médecine a publié un rapport soulignant le coût élevé des traitements innovants contre le cancer et proposant des solutions pour améliorer l'accès. Ces traitements, comme les immunothérapies et les cellules CAR-T, bien qu'efficaces, représentent une charge financière importante, avec des coûts pouvant atteindre 400 000 euros par injection. Le rapport met en évidence la nécessité de réduire les coûts pour assurer la pérennité du financement par l'Assurance-maladie, tout en reconnaissant l'impact positif de ces traitements sur la survie des patients.

Source : Le Monde

Le sous-variant Pirola d'Omicron, détecté en août, se propage aisément grâce à des mutations du gène de la protéine Spike. Il présente des symptômes inédits tels que des irritations oculaires et des éruptions cutanées, outre ceux habituels de la grippe et du Covid. Bien que ces signes distinctifs facilitent sa détection, Pirola peut parfois évoluer sans symptômes, rendant son identification complexe. Selon les experts, malgré ces particularités, ce variant n'indique pas une forme plus grave de la maladie.

L'érysipèle, généralement causé par le streptocoque, est une inflammation bactérienne sérieuse du derme nécessitant une intervention médicale urgente. Bien que son incidence soit en baisse, selon le Dr. Roland Viraben, dermatologue, plusieurs facteurs tels que l'insuffisance veineuse, la présence de plaies ou de mycose peuvent favoriser son apparition. L'identification et le traitement de ces portes d'entrée bactériennes sont cruciaux pour gérer la maladie et prévenir les récidives. Les causes telles que le cancer, l'eczéma et le psoriasis, souvent mal interprétées, ne sont pas des déclencheurs directs, bien que les brèches cutanées liées à ces conditions puissent éventuellement faciliter l'entrée bactérienne. Le traitement implique généralement une antibiothérapie et éventuellement une contention veineuse, avec une attention particulière aux potentialités de complications comme la phlébite.

Source : Journal des Femmes

Le doxyPEP, surnommé la "pilule du lendemain" pour les IST, génère à la fois espoir et préoccupations. Agissant post-exposition pour prévenir la syphilis et la chlamydia, son efficacité et utilisation non supervisée ont suscité l’intérêt mondial depuis 2015. Bien que recommandé par divers départements de santé et les CDC, des interrogations subsistent quant à son efficacité variable entre les groupes démographiques et le risque potentiel de développement de résistance bactérienne, posant ainsi un dilemme quant à son accès et son administration à large échelle.

Source : Slate

L'étude EPI-PHARE explore les liens entre la vaccination contre la Covid-19 et le syndrome de Guillain-Barré, révélant une absence de risque accru avec les vaccins à ARNm et un léger risque avec ceux à vecteur adénoviral. Les personnes atteintes de la Covid-19 encourent un risque significativement plus élevé de développer ce syndrome, renforçant l’argument en faveur de la vaccination comme mesure préventive principale malgré les risques marginaux potentiels liés à certains vaccins.

Source : Futura Sciences

L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) met en garde contre l'utilisation incorrecte de la miansérine, un antidépresseur. Elle n'est pas approuvée pour traiter les troubles du sommeil sans dépression associée. Des effets secondaires graves peuvent survenir, notamment chez les seniors. L'ANSM demande aux professionnels de santé de respecter les indications officielles.

Des chercheurs de l’Inserm, du CHU de Lille, de l’Université de Lille et de l’Imperial College London ont étudié les effets de l'infection par le SARS-CoV-2 sur les neurones exprimant l’hormone GnRH, impliqués dans la régulation de la reproduction. Ils ont découvert que le virus peut entraîner la mort de ces neurones, possiblement à l'origine de certains symptômes persistants tels que les troubles de mémoire et de concentration. Ces anomalies sont également associées à une baisse des taux de testostérone. Bien que basée sur un échantillon limité, l’étude souligne l'importance de poursuivre les recherches sur les conséquences neurologiques du "Covid long" et d'optimiser le suivi médical des personnes concernées.

Un nouveau traitement préventif contre la bronchiolite, nommé Beyfortus, sera disponible pour tous les bébés. Commercialisé par Sanofi et développé en collaboration avec AstraZeneca, il vise à immuniser les nourrissons contre le virus respiratoire syncytial, principal responsable de la bronchiolite. Contrairement aux vaccins traditionnels, une seule injection de cet anticorps monoclonal assure une protection pendant plusieurs mois. Jusqu'à présent, aucun traitement préventif n'était largement disponible, si ce n'est pour les bébés à risque. Ce développement offre une nouvelle ligne de défense contre cette affection respiratoire courante.

Comment fonctionnent les tests antigéniques ? Dans quels cas peut-on les utiliser ? En quoi sont-ils différents des tests RT-PCR et RT-LAMP ? À qui s’adressent-ils ? Savez-vous qu’ils nécessitent un prélèvement nasopharyngé ?

« Comment fonctionne un test RT-PCR ? » « Pourquoi se faire dépister avec ce test plutôt qu’un autre ? » « Comment le biologiste médical analyse-t-il les prélèvements ? »

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