Informations médicales
Contenu | 3e mois |
4e mois |
5e mois |
6e mois |
7e mois |
8e mois |
9e mois |
Examens obligatoires | |||||||
HCG qualitatif | si doute | ||||||
Diagnostic de grossesse | |||||||
Groupe sanguin |
2e détermination si non faite avant | ||||||
Recherche d'agglutinines irrégulières |
si rhésus négatif ou si antécédents de transfusion, poursuite des recherches d'agglutinines irrégulières au cours des 6e, 8e et 9e mois | ||||||
Identification et titrage des anticorps |
si RAI2+ | si RAI2+ |
si RAI2+ |
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Sérologie rubéole | 3 | ||||||
Sérologie syphilis | |||||||
Sérologie toxoplasmose | 3 | si résultat négatif : mensuelle jusqu'au 9e mois et après accouchement | |||||
Recherche d'Ag HBs | |||||||
Glycosurie - Albuminurie | |||||||
Hémogramme |
1. SA = semaines d'aménorrhée.
2. RAI = recherche d'agglutinines irrégulières.
3. = sauf immunité acquise (certitude par documents écrits).
Liste des examens conseillés
Contenu | 3e mois |
4e mois |
5e mois |
6e mois |
7e mois |
8e mois |
9e mois |
Examens à proposer systématiquement | |||||||
Marqueurs sériques HT21 | entre 14 et 18 SA1 | ||||||
Sérologie HIV 1 et 2 | |||||||
Recherche streptocoque B (vaginal) |
entre 35 et 38 SA1 | ||||||
Frottis cervical | si plus de 3 ans | ||||||
Examens à proposer selon la symptomatologie ou les antécédents | |||||||
Numération-formule sanguine |
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ECBU | |||||||
Sérologie Hépatite C | |||||||
Hyperglycémie provoquée par voie orale |
à 24 SA1 |
1. SA = semaines d'aménorrhée.
2. RAI = recherche d'agglutinines irrégulières.
3. = sauf immunité acquise (certitude par documents écrits).
Indications d'un traitement anticoagulant
Le traitement anticoagulant a pour objectif de prévenir la formation d'un caillot de sang et/ou favoriser sa disparition
Indications | Objectifs | |
Phlébite | Elle correspond à la formation d’un caillot de sang dans une veine. |
Votre traitement anticoagulant a pour but d’empêcher l’extension de ce caillot et de favoriser si possible sa disparition. |
Embolie pulmonaire |
Correspond à la migration d’un caillot de sang dans la circulation pulmonaire. | |
Prothèse valvulaire cardiaque |
Des caillots peuvent se former au niveau de la prothèse, ou bien migrer dans la circulation générale. |
Si un caillot se forme au contact de votre prothèse, il peut entraîner un dysfonctionnement de celle-ci. |
Pathologie cardiaque | Certaines maladies cardiaques peuvent se compliquer par la formation de caillots (soit dans le cœur, soit dans la circulation générale). |
Si un caillot se forme, vous risquez les principales complications suivantes :
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Surveillance
La vitamine K est un des éléments physiologiques indispensables à la coagulation du sang. La prise de votre anticoagulant (AVK) agit au niveau de la vitamine K. Ce traitement ralentit la coagulation et peut donc favoriser la survenue d'un saignement.
L'action des AVK diffère d'un individu à l'autre. Il est donc essentiel de trouver la dose optimale pour chaque patient. Une surveillance régulière permet de trouver cette dose appropriée et reste indispensable afin de vérifier l'effet du médicament et d'assurer la sécurité du patient.
Cette surveillance est indispensable, au moins une fois par mois, et s'effectue par des prises de sang réalisées dans votre laboratoire. L'action de l'AVK sur la fluidité de votre sang est évaluée par l'INR (International Normalised Ratio). Plus votre INR est élevé, plus votre sang est fluide.
Votre traitement au quotidien
La prise de votre traitement anticoagulant doit être régulière et se faire à horaire fixe. En cas d'oubli, ne jamais doubler la dose lors de la prise suivante.
Il est préférable de prendre l'anticoagulant le soir, cela permet d'ajuster votre traitement en fonction du résultat d'INR réalisé le matin.
Les médicaments autres que votre AVK
De nombreux médicaments modifient l'action des AVK. Ils entraînent soit une augmentation de l'effet anticoagulant (risque d'hémorragie) soit une diminution de celui-ci (inefficacité du traitement). De votre propre initiative, n'ajoutez pas de médicaments à votre prescription sans l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien.
Certains médicaments sont formellement contre-indiqués : aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens, certains somnifères, certains antifongiques.
Alimentation
Un régime alimentaire strict n'est pas nécessaire, en revanche, certains aliments riches en vitamine K peuvent diminuer l'action du médicament : choux (choux, choux-fleurs, brocolis...), avocats, tomates, épinards, salade, chocolat. La consommation de ces derniers est à répartir de façon équilibrée dans votre alimentation et sans excès.
Risques liés au traitement par AVK
Le principal risque des traitements AVK est le risque de saignements (hémorragie) qui doit être suspecté dans les cas suivants :
- Saignement de nez,
- Sang dans les urines,
- Saignement des gencives,
- Saignement qui ne s'arrête pas,
- Vomissements ou crachats sanglants,
- Apparition de « bleus » (hématomes).
Dans toutes ces circonstances, vous devez contacter rapidement votre médecin qui prendra les mesures nécessaires dont une prise de sang pour déterminer votre INR.
- le diabète de type 1, où les cellules du pancréas produisant l'insuline sont détruites ;
- le diabète de type 2, dû à une anomalie métabolique qui associe une mauvaise utilisation de l'insuline (insulinorésistance) et une carence en insuline s'aggravant progressivement au fil du temps (insulinopénie).
Diabète de type 2
Le diabète de type 2 est défini par :
- une glycémie supérieure à 1,26 g/l (7,0 mmol/l) après un jeûne de 8 heures et vérifiée à deux reprises ;
- ou la présence de symptômes de diabète (polyurie, polydipsie, amaigrissement) associée à une glycémie (sur plasma veineux) supérieure ou égale à 2 g/l (11,1 mmol/l)
- ou une glycémie (sur plasma veineux) supérieure ou égale à 2 g/l (11,1 mmol/l) 2 heures après une charge orale de 75 g de glucose (critères proposés par l'Organisation Mondiale de la Santé).
Le diabète de type 2 provoque des complications microvasculaires (rétinopathie, néphropathie et neuropathie) et macrovasculaires (infarctus du myocarde, artérite et accident vasculaire cérébral).
L'objectif du traitement du patient atteint d'un diabète de type 2 est de réduire la morbi-mortalité, par l'intermédiaire notamment d'un contrôle glycémique correct.
Paramètres à surveiller
- Glycémie
Concentration de glucose dans le sang.
Avec les graisses, le glucose constitue une des deux grandes sources d'énergie.
- Hémoglobine glyquée ou HbA1c
Mesure qui indique le taux moyen de sucre (glucose) dans le sang des deux à trois derniers mois, exprimé en pourcentage.
- Bilan biologique rénal, créatinine sanguine, protéinurie, microalbuminurie
La surveillance des reins par une analyse de sang et une analyse d'urine est nécessaire une fois par an. On mesure le taux de créatinine sanguine (créatininémie) et l'on vérifie l'absence de protéine dans les urines (protéinurie). Lorsque ce test urinaire est négatif, on confirme l'absence de maladie rénale (néphropathie) par une mesure de la microalbuminurie.
Contrôle glycémique
Le contrôle de la glycémie peut être évalué par différentes mesures : l'HbA1c, la mesure de la glycémie au laboratoire, l'autosurveillance glycémique.
L'autosurveillance étant la mesure par le patient de sa glycémie capillaire (sur une goutte de sang), réalisée au moyen d'un lecteur de glycémie.
Grossesse
Les femmes en âge de procréer doivent être informées de l'intérêt d'un bon contrôle glycémique avant et durant la grossesse afin d'améliorer le pronostic obstétrical.
Une cible d'HbA1c si possible inférieure à 6,5 %, est recommandée avant d'envisager la grossesse.
Durant la grossesse, l'équilibre glycémique doit être évalué par des glycémies capillaires pluriquotidiennes. Des glycémies inférieures à 0,95 g/l à jeun et 1,20 g/l en post-prandial à 2 heures et un taux d'HbA1c inférieur à 6,5 %, sous réserve d'être atteints sans hypoglycémie sévère, sont recommandés.
Recommandations
L'objectif glycémique doit être individualisé en fonction du profil des patients et peut donc évoluer au cours du temps.
Il repose sur l'évaluation du taux d'hémoglobine glyquée dans le sang (HbA1c) tous les 3 mois. Pour la plupart des diabétiques de type 2, la cible recommandée pour l'HbA1c est inférieure ou égale à 7 %.
Contextes | Recommandations cible HbA1c |
Pour la plupart des patients diabétiques de type 2 |
HbA1c inférieure ou égale à 7 % |
Pour les patients diabétiques de type 2 :
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HbA1c inférieure ou égale à 6,5 % sous réserve d’être atteint par la mise en oeuvre ou le renforcement des mesures hygiéno-diététiques puis, en cas d’échec, par une monothérapie orale. |
Pour les patients diabétiques de type 2 :
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HbA1c inférieure ou égale à 8 % |
Recommandation HAS Janvier 2013
Teneur très élevée (100 – 1000µg/100mg) |
Teneur élevée (10 – 100µg/100mg) |
Teneur moyenne (1 – 10µg/100mg) |
Teneur faible (0.1 – 1µg/100mg) |
Huile de colza Huile de soja Chou vert Choux de Bruxelles Brocoli choucroute Laitue Cresson Persil Épinard Fenouil |
Haricot vert Fève Pois Chou rouge Chou-fleur Concombre Reine-claude Poireau Margarine Huile d’olive Foie Abats Poulet avec peau |
Crème ; Beurre ; Fromage Pomme Aubergine Myrtille Carotte Céleri Huile de maïs, de palme et huile de tournesol Courgette Datte Figue Raisin Pêche Prune Rhubarbe Fraise Tomate Bœuf haché Foie de génisse et d’agneau Orge ; Avoine Pain complet Son de blé Céréales de petit déjeuner |
Lait de vache ; Yaourt Avocat Banane Mangue Melon Pastèque Champignon Orange Navet Cacahuète Ananas Pomme de terre Bifteck Poulet sans peau ;Côte de porc maigre Saucisse (porc et bœuf) Bacon maigre Maïs Pain blanc Spaghetti Riz complet Farine blanche Pétale de maïs Poissons, mollusques et crustacés |
Diminution de l’effet des AVK et de l’INR | Diminution de l’INR en cas de consommation excessive | Pas d’incidence sur l’INR |
Sources: Table de composition des aliments (AFSSA Aout 2001)
Composition nutritionnelle des aliments; Tables CIQUAL 2012
AFSSAPS: Questions-Réponses (Avril 2009)
calendrier vaccinal de l'INPES
L'arrivée des beaux jours est pour nombre d'entre nous synonyme de nez bouché, qui coule, éternuements, démangeaisons des yeux...
Le rhume des foins ressemble à un simple rhume, mais si les symptômes persistent ou se déclenchent toujours à la même saison ou dans des circonstances identiques, il s'agit bien d'une rhinite allergique ou d'une rhino-conjonctivite.
Ces allergies se déclenchent souvent de manière brutale à la période de la floraison: en hiver pour les cyprés, au printemps pour les platanes, peupliers.. et à l'été pour les graminées et pariétaires..
Les pollens occupent le terrain sur plus de la moitié de l'année (voir le calendrier pollinique présentant les principales périodes à risque en cliquant sur le lien ci-dessous), avec quelques variations d'une année sur l'autre en fonction des conditions météorologiques notamment : un hiver doux, venteux et sec aura tendance à les favoriser tandis que la pluie les atténuera.
Mais vous n'êtes certainement pas allergique à tous, voilà pourquoi il est important d'identifier les allergènes qui déclenchent vos crises.
Certains gestes simples permettent de diminuer l'exposition aux pollens:
- Garder portes et fenêtres de son logement fermées notamment en milieu de journée durant la période des pollens
- Limiter les activités en extérieur
- En voiture, rouler fenêtres fermées
- Se mettre à l'abri du vent
- Douche et lavage des cheveux si contact avec le pollen
- En vacances choisir la mer plutôt que la campagne
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Du lundi au vendredi de 7h30 à 18h
Le samedi de 8h à 12h
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Le samedi de 8h à 12h